«Malgré les réserves que je pourrais avoir sur certains aspects de la nouvelle constitution, je promets de ne pas essayer de la faire amender ou d’y toucher».
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C’est ce qu’a déclaré le président de la république Béji Caïd Essebsi dans un entretien au journal algérien ‘‘Al-Khabar’’, en marge de sa visite en Algérie, les 4 et 5 février 2015. «Je m’engage à respecter les limites de mes prérogatives telles que définies par la constitution, qui est un texte consensuel», a expliqué M. Caïd Essebsi. Et d’ajouter: «Toute tentative de ma part pour faire amender la constitution sera interprétée comme une volonté de revenir à l’ancienne époque, celle du pouvoir absolu. C’est pourquoi je m’interdis toute décision pouvant être considérée comme un retour en arrière». I. B. |
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