Nous publions ci-dessous les clarifications que Kamel Jedidi a voulu apporter à la suite de notre article ‘‘Etats Unis: Marzouki remis à sa place par le professeur Jedidi’’.
Je fus très surpris du titre et du contenu de l’article «Etats Unis: Marzouki remis à sa place par le professeur Jedidi» dans Kapitalis qui rapporte des citations, des sentiments et des intentions qui ne sont nullement les miennes, et qui ne sont jamais apparue dans l’article sur lequel Kapitalis s’est basé dans ‘‘Columbia Spectator’’. Je ne comprends pas comment le journaliste peut commenter sur «mon sang qui n’aurait fait qu’un tour» en écoutant le président Marzouki ou m’attribuer de l’«ironie» et de «l’amertume.» Par ailleurs, je comprends encore moins d’où vient la phrase: «L'universitaire tuniso-américain a rappelé à M. Marzouki que, depuis qu'il occupe le palais de Carthage, il a dilapidé l'argent du contribuable sans rien apporter d'utile aux Tunisiens.» Cette phrase ne se trouve pas dans l’article original de ‘‘Columbia Spectator’’ et je n’ai jamais prononcé une telle phrase. Pour les lecteurs de Kapitalis, il est important qu’ils sachent que je n’ai jamais rencontré de journaliste de Kapitalis et je les réfère à l’article original de ‘‘Columbia Spectator’’ pour mes commentaires sur le discours du président Marzouki. Il n’est pas mon rôle de remettre qui que ce soit à sa place (et je n’en ai pas les pouvoirs). J’ai le plus profond respect pour les institutions gouvernementales et la fonction présidentielle. Comme tous mes compatriotes, je ne souhaite que le succès à tout gouvernement Tunisien. Dr. Kamel Jedidi La Rédaction : L’auteur de l’article publié par Kapitalis n’était pas présent à New York, et il a bien expliqué qu’il s’est basé sur un compte-rendu publié par ‘‘Columbia Spectator’’. Les citations attribuées à M. Jedidi sont mises entre guillemets et elles sont une fidèle traduction de son intervention en anglais. Il va sans dire cependant que les commentaires et les interprétations – même de la position de M. Jedidi et des motifs de sa réaction – n’engagent pas sa responsabilité mais bien celle de Kapitalis. |
{flike}