«Cette annulation envoie un signal politique négatif sur le partenariat euro-méditerranéen. Je le regrette profondément», a déclaré le président Buzek dans un communiqué cité sur son site Internet.
Il a rappelé que la récente réunion du Bureau de l’Assemblée parlementaire de l’Union pour la Méditerranée, qui a eu lieu à Rome le 12 novembre, avait appelé les chefs d’Etat et de gouvernement à donner une forte impulsion au partenariat euro-méditerranéen, afin de permettre un fonctionnement efficace de ses institutions et la mise en œuvre de grands projets.
«Ces projets comprennent la construction de routes, des mesures visant à réduire la pollution, la répartition des ressources rares comme l’eau, l’alimentation et l’énergie et beaucoup d’autres qui sont entrepris pour aider la population dans la région», a dit M. Buzek. Il a ajouté : «Ces projets concrets doivent avancer. Notre rôle en tant que parlementaires est de veiller à cela. Une fois de plus le niveau parlementaire est le seul où un véritable dialogue institutionnel se poursuit.»
Le sommet de l’UpM annulé en raison du blocage du processus de paix au Proche-Orient et de la poursuite de la politique de colonisation d’Israël.
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