En préparation depuis deux ans, l’incubateur de l’Ecole supérieure privé d’ingénierie et de technologies (Esprit) peine à démarrer. Pour causes de difficultés financières.
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En effet, les promoteurs de ce projet n’arrivent pas à réunir les fonds nécessaires au lancement de ce projet pionnier. «Cela fait dix huit mois que nous nous battons pour mobiliser des financements pour l’incubateur et les incubés», indique Alaya Bettaieb, ancien ministre de la Planification et de la Coopération internationale (décembre 2011 - mars 2013), et directeur d’Esprit Factory. Mais les fonds n’arrivent pas ou si peu – deux institutions ont déjà accepté de «financer partiellement» le projet. Ce qui va permettre d’en démarrer l’activité avec les moyens du bord. En espérant que l’appétit viendra aux éventuels bailleurs de fonds en regardant les projets que l’incubateur-accélérateur permettra de mettre sur orbite. Nabil Ben Ameur |
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