Bourse de TunisUn investisseur étranger désireux d’investir dans une société cotée à la Bourse de Tunis ne sera plus obligé de se contenter de 49% du capital.

Désormais, il pourra aller jusqu’à 66,66% dans les sociétés évoluant dans des secteurs «non libérés au moment de leur constitution».

C’est ce que stipule un décret que vient de promulguer le chef du gouvernement provisoire Mehdi Jomaa, après avoir consulté le Tribunal administratif.

En-deça de 66,66%, les opérations ne nécessiteront même pas l’aval de la Commission supérieure de l’investissement.

Nabil Ben Ameur

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