Aucun système de contrôle de l’Ebola n’a encore été mis en place à l’aéroport de Tunis-Carthage, déplore le syndicat des agents de sécurité de l’aéroport.
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Le syndicat a démenti les déclarations du ministère de la Santé, à ce sujet, en précisant que rien n’a encore été prévu pour la prévention de l’épidémie ou sa détection auprès des voyageurs en provenance des pays à risque. Les agents sécuritaires de l’aéroport ont prévu de porter un brassard rouge, à partir du jeudi 23 octobre 2014, et menacent de recourir à d’autres formes de protestation, si les autorités ne font pas le nécessaire pour les protéger. Il n'existe pas de traitement attesté contre l’Ebola, cette fièvre hémorragique mortelle, qui a fait plus de 4.500 morts, selon les derniers chiffres de l'Organisation mondiale de la santé (OMS). Les pays particulièrement affectés par l’épidémie sont la Guinée, le Liberia et le Sierra Leone. Y. N. M. |
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