Le montant des réparations d’une voiture mise au service de Samir Ben Amor, conseiller juridique de la présidence, a atteint les 9.800 dinars.Le montant des réparations d’une voiture mise au service de Samir Ben Amor, conseiller juridique de la présidence, a atteint les 9.800 dinars.

C’est la facture salée qui doit être payée par le contribuable à un atelier de la société Ennakl ayant réparé la voiture accidentée.

Au moment de l’accident, rapportent nos collègues d’‘‘Al-Jarida’’, celui qui a été au volant de la voiture de fonction n’était pas Samir Ben Amor, mais l’un de ses proches. Kapitalis a essayé de joindre M. Ben Amor pour avoir sa version, mais il était aux abonnés absents.

En juin dernier, le conseiller juridique du président Marzouki a passé les clefs de sa voiture de fonction à son gendre. Ce dernier a été arrêté près de Soliman. La voiture a été saisie et la police a dû appeler M. Ben Amor pour qu’il récupère les clefs de sa voiture de fonction.

Cette affaire – classée – qui a déjà fait scandale, a été suivie par un autre du même genre. Quelques semaines après, Oussama, fils de Mohamed Lamine Chakhari, ministre de l’Industrie, a provoqué, le 5 juillet, un accident de la route à Kasserine. Il est sorti heureusement pour lui indemne de cet accident qui coûté une petite fortune au contribuable, en terme de réparation de la voiture de marque Golf type 6. Une voiture de fonction…

I. B.