Après l’agression vendredi au Kef sur l’homme de théâtre Rejeb Mogri, ce fut le tour, samedi, du cinéaste et universitaire Mohamed Ben Tabib, violenté, lui aussi, par un salafiste à Bizerte, sa ville natale.


Les agressions perpétrées par des salafistes sur les hommes d’art et de culture se poursuivent, alors que le gouvernement laisse faire, comme dans une parfaite complicité.

Z. A.